A la fin des années 50, le strip-tease était dans les cabarets une discipline tellement prisée qu’il fut créé une Académie officielle, présidée par un membre de l’Institut, Edmond Heuzé. L’effeuillage devint un art (éphémère), codifié et réglementé, et quelques auteurs traitèrent le sujet avec délectation, tel l’essayiste François des Aulnayes.
Article de Jean-Luc bouland, découvrez les extraits de l’ouvrage dans la revue Naturisme magazine n°78